Docteur Renaud, j’ai mal à l’âme.

Début de semaine, fatigué par les excès gastro-éthyliques de la veille et de l’avant veille, je traine ma carcasse et mon mal de crâne de pièces en pièces, cherchant vainement le repos, ma boite d’aspirines et mes chaussons que mon facétieux clébard planque sans cesse dans des endroits plus étonnants les uns que les autres. […]