Interview (presque) imaginaire : Frank Ribéry

PERRINE DURAND : Graoulliennes, Graoulliens, amical bonjour de la pointe Bretagne ! Je suis Perrine Durand et, invité sportif oblige, moi et Jany Laridé remplaçons l’ami Renan Apreski, n’est-ce pas, ma p’tite Jany ?

 

JANY LARIDÉ : Oui, tout à fait Perrine ! Notre invité n’est autre que la vedette du Bayern de Munich, Frank Ribéry ! Bonsoir, Frank !

 

 

FRANK RIBÉRY : Salut !

P.D. : Alors, Frank, le parquet a finalement considéré que vous ne pouviez pas savoir que la tristement célèbre Zahia était mineure, vous devez être soulagé ?

F.R. : Le parquet ? T’as un parquet qui parle chez toi ? Il fait « aïe » chaque fois que tu marches dessus, alors ? Oâh, l’autre ! T’aurais mieux fait de prendre un parquet flottant, c’est mieux, comme ça, on a pas de courbatures quand on baise sur le sol !

P.D. : Ça commence bien… Non, Frank, rappelez-vous : dernièrement, vous n’êtes pas allé dans un endroit où il y a des hommes habillés en robe ?

F.R. : Ah ouais, la casa of sex ! On y est allés avec Benzema, l’autre soir ! C’est vrai que j’avais tout de suite vu que c’étaient des travelos ! C’est que j’ai de l’entraînement !

P.D. : Bon, là, c’est ma faute…

J.L : Tout à fait Perrine ! Bravo pour votre expérience, Frank, mais non : on vous parle d’un endroit moins…interlope, disons, plus sérieux, où les robes vont jusque par terre et sont rouges et noires…

F.R. : Ah ouais, je vois ! On m’avait dit que j’avais le droit à un avocat, mais j’ai pas vu un seul fruit ! D’façons, j’aime pas ça…

P.D. : Bon, ben on est enfin sur la même longueur d’ondes !

J.L. : Tout à fait, Perrine !

P.D. : Bon, et bien Frank, ces messieurs en robe ont reconnu que vous ne pouviez pas savoir que Zahia était mineure quand vous avez… disons passé une nuit d’amour avec elle !

F.R. : Mineure ? J’ai jamais baisé de mineure, moi ! Ou alors elle s’était lavée parce que une mineure, normalement, c’est tout sale, tout noir, tout plein de charbon ! D’façons, j’croyais qu’il y avait plus de mines, en France, on m’l’a dit à l’école coranique !

P.D. : Pfff ! Ça m’aurait étonné qu’il nous l’épargne, celle-là !

J.L. : Tout à fait, Perrine ! Non, Frank, un mineur, c’est aussi quelqu’un qui n’a pas encore dix-huit ans ! Or, vous avez probablement eu des rapports sexuels avec une fille qui n’avait pas encore dix-huit ans, et ça, ce n’est pas bien !

F.R. : Ben pourquoi ? Les curés des chrétiens, ils le font bien et personne leur dit rien !

P.D. : Ah si, on le leur reproche !

F.R. : Ben non puisqu’on les laisse continuer à être prêtres et que leurs croyants continuent à aller les voir et à leur confier leurs gosses ! On le leur pardonnerait à eux et pas à moi ? C’est pas juste !

P.D. : Ah, il a quand même des éclairs de lucidité, parfois !

J.L. : Tout à fait, Perrine ! Bon, enfin, Frank, quand vous…fréquentiez, disons, Zahia, elle était mineure, mais vous ne le saviez pas, vous n’avez donc rien à vous reprocher et tout va bien !

F.R. : J’irai pas en prison, alors ?

P.D. : Normalement, non !

F.R. : Ah tant mieux ! Mais au fait…c’est qui, Zahia ?

P.D. : Rhôlololo… Vous le faites exprès, Frank ? C’est la jeune fille mineure qu’on vous accuse d’avoir baisé ! Ça fait plus d’un an qu’on vous en parle !

F.R. : Ouais bien vous savez, quand je vais voir les filles, je leur demande pas leur nom, hein !

P.D. : Quoi ? Vous ne connaissiez même pas son nom ?

F.R. : Ben non, pourquoi faire ? Quand on va aux filles, tout ce qu’on leur demande, c’est d’avoir des nichons, un cul et une chatte pour baiser, et tout ce qu’elle nous demande, c’est d’avoir du fric pour les payer, et tout le monde est content ! On se pose pas d’autres questions !

P.D. : Ah, d’accord, d’accord… Oui, dans ces conditions, vous ne risquiez pas de savoir quel âge elle avait !

F.R. : Ben ouais, forcé ! Et pis d’façons, j’dirai, pour ma défonce…

P.D. : Pour votre DÉFENSE, Frank !

F.R. : Ouais, j’dirai que d’façons, c’était forcé que je sais pas son âge, à la fille, vu que Laurent Blanc, il me dit tout le temps que je sais rien à rien !

P.D. : Ah ! Et bien au moins, il connait bien ses joueurs ! En tout cas, nous sommes désormais certains que vous n’êtes coupable de rien !

J.L. : Tout à fait, Perrine ! Merci pour vos réponses, Frank !

F.R. : De rien ! Heu…au fait, les filles ?

J.L. : Oui, Frank ?

F.R. : Vous savez que vous êtes bonnes, toutes les deux ? J’vous jure, vous êtes bonnardes….

P.D. : Houlà ! Je crois qu’il est temps de rendre l’antenne !

J.L. : Tout à fait, Perrine ! Allez, kenavo !

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