JE RIS, JE PLEURE…( ET JE T’EMMERDE.)

Que peuvent donc cacher un sourire, un rire,

Une apparente bonhomie ?

Vous voyez le meilleur pendant que vis le pire

Vous murmurez, moi je crie…

 

Que savez vous donc de ma souffrance

Vous pour qui futilité est bonheur ?

Etes vous en moi depuis mon enfance ?

Avez vous connu mes peurs ?

 

Pendant que je martyrise mon âme pour guérir

D’ici j’entends vos jugements,

Plus faciles et confortables que de s’enquérir

D’un autre et son tourment.

 

Oui, souvent on m’entend rire,

Quand seul je pleure…

Mon malheur n’est pas un Shakespeare

Offert à des voyeurs.

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