» La chasse à courre, abandonnée depuis la Révolution et réactivée par Napoléon, qui dans le même temps rétablissait l’esclavage, consiste à poursuivre un animal à cheval jusqu’à l’épuisement pour ensuite le tuer à l’arme blanche. Frappé, battu parfois même avec des barres de fer pour lui faire plier genou, il est ensuite poignardé avec une dague ou un épieu, si les chiens ne l’ont pas déjà déchiqueté. »
Vénerie, Vilenie, Vacherie… Ce n’est pas le « V » de la victoire que bricolent mes doigts en direction de certain(es) ! Non !
Comment expliquer que naguère, soi-même animal traqué, on en arrive à devenir chasseur(se) ?
Comment justifier les pratiques utilisées pour mettre à genoux celui ou celle qui, affaibli, tente péniblement à se relever pour continuer à lutter pour sa survie ?
Mais qu’est-ce donc que cela se demanderont certains tandis que d’autres ne liront jamais…
Un « joli » complot pyramidal, à la tête duquel on trouve l’ Hydre de Lerne, sifflante et persiflante, portant robe ou pantalon. Soufflant le chaud et le froid, déchainant passion et haine, sœurs jumelles de sentiments, mais n’omettant jamais de se protéger du sens du vent.
Elle rassemble, elle allie, elle ligue, elle entretient son armée de bons petits soldats moutonneux.
Quelques injections régulières de sa Devise » Qui veut noyer son chien l’accuse de la rage » à sa meute, réactive sa soif de larmes, de sang.
Mais dans quel but ?
Là demeure le grand mystère. Trainer, couvrir puis se trainer, se rouler dans la fange ne peut, à mon sens n’être que les symptômes d’une maladie mentale non baptisée à ce jour… à moins que…Syndrome NPMD ???
Mais « cékoidonc » ?
C’est simple pourtant, dès lors que l’on décompose la décomposition du sujet : se dit d’un individu, de n’importe quel sexe, jouisseur Narcissique, Pervers(e), Manipulateur (trice), Destructeur(trice) se repaissant des douleurs, de la souffrance, voire de la mort d’aucuns…
Je suis d’ailleurs surprise de ne pas avoir encore vu apparaitre de page destinée à ce genre de malades sur réseau social, tant le nombre de cons cernés (espace justifié et assumé) est grand… En même temps, « social » le réseau ?
Je ne dois pas posséder le même dictionnaire que tout le monde… Bref…
Mais dans quel but ?
Je vous invite à reprendre le paragraphe ci-dessus… Ou à poser la question, directement, aux patients eux-mêmes. Prenez-garde toutefois, il semblerait que ces derniers ne soient pas conscients de leur état… A moins qu’ils ne souffrent d’amnésie sélective… La Médecine cherche encore…
Modus operandi : (traduction littérale : mode opératoire ou comment cela fonctionne t-il ?
L’Hydre de Lerne (ou d’ailleurs), repère sa proie affaiblie. Je ne reviendrai pas sur les origines de la faiblesse car elle diffère d’un être à un autre. Ceci fait, elle prépare sa petite cuisine. Elle y place une grosse part de rumeurs, ajoute quelques on-m’a-dit, saupoudre de fais-moi-confiance, pimente le tout avec du demande-à-untel, n’oublie jamais de mettre son grain de sel et une bonne dose de savoir-faire !
Puis elle convie. Plus les invités seront nombreux mieux cela sera. Et comme l’hôte est généreux(se) elle n’oublie pas d’inviter le ou la concierge du coin. Lorsque tous les cons viés sont présents, elle les laisse quelques instants seuls, tout en les surveillant de temps en temps du coin d’un œil frémissant… Le repas n’en sera que meilleur puisque chacun a pris soin d’apporter sa propre recette afin de comparer. Et ça macère, et ça fermente, et ça pourrit… Sentez-vous l’odorant fumet ?
A taaaable !!! L’Hydre sourit, rit, jubile, jouit…
La proie déjà tant diminuée, est écartelée, déchiquetée, le cœur et l’âme mis en pièces, en lambeaux. Dans le meilleur des cas, elle parviendra à se trainer ou être trainée dans un périmètre sécurisé, par quelque bonne âme, atteinte de compassion et de mémoire non altérée. Dans le pire….. Elle s’allongera, végétera quelques heures, quelques jours, le temps que se finisse la digestion des charognards et de leur chef. Puis elle mettra fin à ses jours.
Sonnons l’hallali : ♪♪♪ Mais qu’y-a-t-il pour le dessert ? ♪♪♪
Un encart, un faire-part.
Quelques mots en blanc et noir…
Épilogue :
Vous qui naguère fûtes le dîner et en avez souffert. ..
Vous qui n’avez pourtant jamais oublié !!!
Aujourd’hui, vous voilà convié. Allez-vous vous déplacer ?
Et vous, VOUS le ou la NPMD… N’oubliez jamais le vieil adage !!!
« Qui a bu, boira » et ce, parfois, jusqu’à la lie…
I.PERITO