Devezh mat, Metz, mont a ra ?
Si tu peux gagner cent parties sans être satisfait pour autant ;
Si tu peux rater toutes les occasions qui se présentent à toi d’être heureux ;
Si tu peux laisser les regrets et les angoisses gâcher l’instant présent ;
Si tu peux voir l’amitié comme une bulle pouvant éclater à toute heure ;
Si tu peux dire non à ce que tu aimes par peur du ridicule ;
Si tu peux douter de toi pour de vagues ragots ;
Si tu peux laisser le climat décider de ton humeur à ta place ;
Si tu peux voir le verre toujours à moitié vide ;
Alors tu seras un gros couillon mon fils.
Kenavo, les aminches !