Le fin du fin

fin

 

L’opinion est une aberration ineffable qui n’intéresse que très peu les chiens cannés depuis la nuit des temps par des aveugles en mal d’hallucinations visuelles.

Je vous présente Pete

Celui qui replace manu militari tous les globes sortis d’orbites

L’ami des âmes cupides pour qui les espaces vides n’existent ni sans raison

Ni sans réseaux

Ni sans le moindre écho d’une invention qui nous fait tourner myrmidons.

Il s’accroche

Il nettoie

Les balloches des seniors pour qui ça y est, il est l’or !

Le patron a fait tinter la cloche et les cons peuvent partir au cinoche

Voir quelques spécimens loin d’être moches s’aimer sans fin.

Un fantoche

Deux fantoches

Des fantoches

Un vent de teuch souffle doucement sur ces sombres hommes-roches

Qui ont tous bien trop la pétoche pour oser critiquer leurs propres poches.

Mais dessous, sous vide sera l’an soul

De reproches avides quant à la vie de tous les fous

Qui se fourvoient

Qui tournoient

Qui s’envoie chaque jour une bouteille de tequila.

Mais t’es qui là pour oser parler de moi comme ça ?

Toi l’acquitté d’un procès qui a fait trembler les oreilles d’en bas.

Les dents serrées bilatéralement toi et ton maitre

La vocation ancrée

Sur qu’il va t’aider à continuer à bouffer à ta faim

Quand le plus fin des juges

Feint d’avoir étudié pour rien le droit de vivre lors de soirées à seins

Sans saints

A cinq

Tout le monde peut vivre de son larcin

L’histoire sans fin

Le fin du fin, c’est qu’elle n’en a pas.

La mauvaise page du rat qui lâche des soupirs vermeils sans ratifier la rage des sourires sans éveils.

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