Les gens l’appellent l’idole des beaufs…
Affirmer que Georges Pompidou écrivait moins bien que le général De Gaulle, c’est énoncer un doux euphémisme ; pour passer ses journées à lire les livres que le deuxième président de la Ve République a légués à la postérité, il faut être un masochiste ou un pompidolien fanatique (l’un n’empêchant pas l’autre) ou bien il faut […]