Il y était une fois une bande de noble se battant pour avoir le pouvoir sur les gueux qui peuplaient cette contrée lointaine.
Rendez-vous est donc donné à la taverne pour définir qui administrera le village.
A l’époque, seul les riches notable avaientt le droit de faire de la politique, le petit peuple ne sachant pas lire, on ne leur apprenait pas non plus, suivaient les lois édictées et interprétées par le clergé et la noblesse.
La femme de…, arrivée aux responsabilités par son mari, déclara la séance ouverte, cette femme aimait la belle soie et se confesser chez Mr le curé, on disait qu’elle avait honte d’être riche.
Le vendeur de binocle se trouvait être fort riche également, il venait d’une ville plus lointaine encore, mais avait senti le vent tourner pour avoir un poste. Cet homme était passé du commerce d’esclaves assumés à sa dénonciation. Il était déjà pour son époque un grand capitaliste qui aimait écraser ses employés sous son pied à chaque occassions possibles. La vision d’une ouverture de poste le transforma en homme modéré aimant les pauvres quand il le fallait, on pouvait dire que c’était un vrai commerçant.
Le guide spirituel du village était venu avec son fils pour lui montrer le rouage du pouvoir, c’était un homme sage, ancien chef du village, qui pronait la non assistance au plus pauvre.
Tout cette bande de tradionnaliste, non prograssistes s’accoutumaient de leur statut de bourgeois qui depuis longtemps ne connaissaient plus la vraie vie du peuple et leurs souffrances.
Restait le seul vrai homme libre riche mais rebelle. Le libertin, se mélant à tous, libéral de son état et qui pronait plus de droit pour tous et brocardait ces conservateurs prout prout qui préfére Jesus et l’hypocrisie de leur cadre de vie fastieux. Non, 2 gueux hommes ou femmes ne pouront pas se marier ni créer leur entreprise, non, ils ne se rabaisserons pas à aller voir ces gensss sales…
Finalement qui est le plus sympa de tous !
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