Houellebecq travesti

Il est vrai que ce monde où nous respirons mal

Tourne l’aubépine vers la tour de fluor

Nous biffons trop souvent la fée de nos trésors

Pour pouvoir éclairer nos croûtes jaune pâle.

 

Nous voulons retourner dans l’ancienne demeure,

La solide taverne de la Saint-Pétoncle,

Où les étoiles étaient rangées par notre oncle

Qui se ria de la vérole jusqu’à l’Heure.

 

Nous voulons quelque chose comme une fidélité

Par le verso fluet de nos aphones lyres

Broyées sous les graines d’effigies à bannir

Sur la rive où paissaient le ciron et la laie.

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