Le pluriel ne vaut rien à l’Homme.

Ce serait faire preuve d’une coupable cécité que de considérer l’Homme comme un animal individualiste. Egoïste,veule, lâche, prêt à vendre père, mère, enfants, et la moitié de ses semblables pour quelques piécettes, en un mot vénal, mais certainement pas individualiste, au sens où l’entendaient Stirner ou Nietzsche. Et ne parlons même pas du sort réservé […]