« Paniers percés, Vilains Banquiers ». – Ou « quand l’Idiot ose de sa plus belle prose, vous conter la chose »…….. (By Rachel Lignot)

Je suis l’Idiot,

Des choses de la vie réelle. Dans le genre « halluciné », mes pompes à côtés. Mais juste à côté mes pompes. Ne vous y trompez jamais ! Pour que se chante dès lors, sur le fil de votre vie, la rondade qui se devrait. Se devrait mais ! 

Mais ils ont inventé l’Europe.
Interdisant, – C’est le prix à payer, pour être de cet Europe ! D’emprunter à sa propre banque, pour nous la banque de France… à taux zéro, le financement … sans coûts aucuns, des infrastructures toutes ! du pays
… Obligeant ces mêmes pays à emprunter auprès des banques privées des marchés financiers ( La Haute Finance ) avec intérêts.

 

Bravo l’Europe !
La Grèce en est morte, l’Espagne s’accroche à sa chute.
Au lieu de prospérer, la dette est arrivée. Pour nous enfoncer. 
.

France, on a percé ton panier,  – Oh les vilains banquiers !
Et tous les aiglons qui au con ont joués ! Avec la boite du petit nécessaire, à coudre la vie. – C’est la tienne alors de vie… qui s’effiloche.
.

Bon dieu mes yeux ! Que le monde est devenu moche.
C’est pourquoi il plait à L’Idiot, d
‘oser la juste prose
Pour traiter la chose :

En ces 40 ans d’Europe. Et par référendum pourtant, le peuple français dit « non »! La France a versé 1400 milliards d’euros d’intérêts aux marchés financiers  pour devoir être obligée d’emprunter aux banques privées. D’où aujourd’hui pour la France en 2012, – Une dette de 1700 milliards d’euros !!!

 

Alors c’est en politique,
Que je dois faire « Toc ! Toc ! Toc ! » pour tirer l’oreille, de celui qui sur ses lauriers dort ? Car il est temps messieurs, – De cesser de mettre nos derniers deniers, d
ans les poches des vilains banquiers ! Et de chanter la rondade, pour nous sauver :

Paniers percés, vilains banquiers
Si tu pouvais, tu me plumerais
Paniers percés, vilains banquiers
Si je voulais, je t’épargnerais
 

D’autant Messieurs les Politiques
Qu’il n’y a que l’ idiot, qui ne change pas d’avis. Quand il a fait. Une grosse grosse, bêtise !

Paniers percés, maudit banquier
Si je l’avais voulu, je t’aurais épargné
 Mais je ne suis que l’Idiot, qui ose,
Traiter la chose, de sa plus belle prose !

Rachel Lignot, ce 20 juin 2012

…….

     

 Les Yeux d’un Coeur,

    Qui du Coeur à la Main,

    Portent à Vos Yeux,

    Les justes mots.

 Cette Oeuvre est protégée par le droit d’auteur

©2012Rachel Lignot, tous droits réservés

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