Sur les tartines de charabia des mini-Bourdieu par la grâce desquels il n’est plus possible de défendre la liberté et la culture sans être traité de colonialiste…
Sur les faces rubicondes des rebelles de supermarché qui m’ont traité d’inculte parce que je dénonçais les ignominies d’un prédicateur antisémite déguisé en humoriste…
Sur le front des amis du peuple autoproclamés qui me traitent de sale bourgeois parce que je dis tout le mal qu’on ne peut que penser des idées faiseuses de génocides…
Sur les faces acnéiques des boutonneux qui se mettent à quinze pour rendre aigri et névrosé à vie un petit bonhomme qui ne demandait qu’à aimer ce monde…
Sur les joujoux high-tech des gommeux qui taxent de « Néandertal ancien » toute personne qui a le malheur de ne pas vouloir laisser son téléphone être intelligent à sa place…
Sur les mines délabrées des loques humaines qui se prennent pour des vieux sages parce qu’ils ne savent pas avoir le désespoir joyeux…
Sur les pages Facebook des vieux débris qui rabâchent sans cesse que tout était mieux avant et s’étonnent que les jeunes ne croient plus en rien…
Sur les tombes des terroristes qui tuent des innocents pour venger un prophète qui ne leur a rien demandé et un livre qu’ils n’ont probablement jamais lu…
J’écris ton nom : connerie.
Courriel
Je te suis sur tous ces points. En gros, le monde a besoin d’un peu de bon sens et aussi de sens critique très personnel.