Galerie de portraits (4) : Frigide Barjot.

Devezh mat, Metz, mont a ra ? À première vue, il peut sembler incongru de consacrer un portrait à cette triste sœur (féminin de « triste sire », j’ai inventé moi-même) qui, maintenant que la loi qu’elle combattait avec une âpreté déplacée est adoptée, va retomber dans l’oubli dont elle n’aurait jamais dû sortir. Mais, quand on y […]