Devezh mat, Metz, mont a ra ? Bon, ça ne vous aura pas échappé, hier, les lecteurs du présent webzine n’ont pas eu droit à leur rubrique dominicale habituelle, et ce, pour une raison bien simple : le grand ordonnateur de ce rendez-vous devenu traditionnel, à savoir votre serviteur, est tout simplement exténué par un semestre que la décence m’oblige à qualifier de pénible et a donc décidé de prendre un congé prolongé d’autant plus légitime que j’ai moi-même participé à l’aventure du marathon que le génial Jonathan Hoesch vous a racontée par le menu pas plus tard qu’hier, et ce en dépit du fait que je n’ai pas du tout l’habitude des nuits blanches, à plus forte raison sous une pluie soutenue… Bref, j’espère que vous arriverez à faire sans moi jusqu’au début du prochain mois de septembre, histoire que je puisse recharger mes batteries dans l’espoir que les cieux soient cléments au pauvre petit doctorant breton fatigué… Kenavo, les aminches.
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